Trop près du soleil, Curtis Roosevelt

Format 17 x 24 cm, 304 pages, photos n&b -  EAN 9782356391001 - 23€


C’est un document de première importance sur l’histoire des Etats-Unis et la Maison-Blanche, que nous livre ici Curtis Roosevelt, francophile retiré dans le Gard, aujourd’hui âgé de 81 ans.

Curtis Roosevelt n’avait que trois ans, en 1933, lorsqu’il entra pour la première fois avec sa soeur, dans la demeure présidentielle que venait d’intégrer son grand-père : Franklin Delano Roosevelt, élu 32ème Président des Etats-Unis.

 

Pendant douze ans, Curtis Roosevelt fut donc un habitué de la Maison-Blanche, y venant fréquemment et s’y installant pour de longs séjours. Dans ses mémoires, témoignage unique d’une enfance passée à la Maison-Blanche, il dit sans tabous la complexité des rapports familiaux, les conséquences du pouvoir, la difficulté d’être exposé et épié par le public, la vie quotidienne dans ce que sa famille appelait couramment “l’aquarium”…

 

Au moment où l’on reparle avec intérêt et passion de la politique de Franklin Roosevelt, Trop près du soleil nous livre les clefs d’une histoire politique et économique qui bouleversa les Etats-Unis.


Curtis Roosevelt est le petit-fils d’Eleanor et Franklin Roosevelt, 32ème Président des Etats-Unis.

Il a passé toute son enfance à la Maison Blanche. Après une longue carrière aux Nations-Unies, il est aujourd’hui à la retraite et vit dans un petit village du sud de la France.


La presse en parle :

“Les mémoires poignantes d’une adolescence passée à la Maison-Blanche… nous offrant une image intime de FDR et brisant les tabous de la famille Roosevelt.” SUNDAY TIMES

“Même enfant, Roosevelt portait un regard critique sur ce qui se passait autour de lui, et nous offre ici un témoignage unique sur ses années passées derrière les fenêtres du 160 Pennsylvania Ave.” USA TODAY

“Agrémentant son récit de nombreuses anecdotes personnelles et familiales, Curtis nous livre une réflexion profonde sur les difficultés à grandir en tant que petit-fils de… Ces mémoires apportent un plus considérable à la littérature rooseveltienne.” PUBLISHERS WEEKLY